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l'AIDS non si trasmette con un bacio !!


La Commissione Europea ha presentato i risultati di un sondaggio Eurobarometro (pubblicato in Febbraio 2006) dal quale esce un quadro ancora non soddisfacente sul grado di informazione dei cittadini europei sui rischi di trasmissione del virus HIV-AIDS. Solo il 40% degli intervistati è a conoscenza del fatto che il virus non può essere trasmesso con un bacio. Baciatevi, non si corre alcun rischio ! Bruxelles, le 2 octobre 2006(FR) La Commission présente les résultats de l’Eurobaromètre sur le VIH/sidaAujourd’hui à Bruxelles, lors d’une table ronde européenne consacrée à la prévention du VIH/sida, et plus particulièrement à une meilleure protection des pratiques sexuelles chez les jeunes, la Commission a présenté les résultats du dernier Eurobaromètre sur le VIH/sida. L’enquête porte sur le niveau de connaissance de la population et sur le comportement de celle-ci face à l’épidémie de sida. Si, d’une manière générale, les citoyens ont une bonne connaissance du VIH/sida, ceux des États membres qui ont adhéré à l’UE en 2004 ont tendance à donner des réponses moins correctes. En moyenne, la plupart des Européens sont au courant des risques liés au partage de seringues, à la transfusion de sang infecté ou aux rapports sexuels non protégés. La plupart des répondants déclarent aussi que ces risques les ont amenés à prendre des précautions lorsqu’ils ont des relations sexuelles, et à rechercher la stabilité dans le choix de leurs partenaires. Toutefois, des idées fausses subsistent: ainsi, seuls 40% des sondés savent que le VIH ne peut pas se transmettre par un baiser sur la bouche. « Nous ne devons pas oublier que le VIH/sida reste l’une des premières causes de décès évitables à l’échelle mondiale », a déclaré Markos Kyprianou, commissaire européen à la santé et à la protection des consommateurs. « Je suis extrêmement préoccupé par la baisse de l’attention accordée à la prévention. Nous devons encourager l’éducation, l’utilisation d’aiguilles et de seringues stériles et, surtout, une meilleure protection dans les relations sexuelles, car un relâchement de la vigilance touchant principalement les jeunes les conduit à sous-estimer le risque auquel ils peuvent s’exposer. L’Eurobaromètre révèle une meilleure sensibilisation des citoyens en matière de prévention du VIH/sida, mais aussi la nécessité d’en faire plus, notamment pour informer la population des nouveaux États membres de l’UE, dans lesquels l’épidémie reste forte et qui sont limitrophes de pays où l’épidémie progresse. »Le niveau de connaissance est bon, mais certaines idées fausses ont la vie durePrès de la moitié (environ 45%) des personnes interrogées pensent que l’on peut être infecté en buvant au même verre qu’une personne séropositive ou atteinte du sida, en utilisant les mêmes toilettes qu’elle, en lui donnant du sang ou en la soignant. Toutefois, l’immense majorité des répondants savent qu’il n’y a aucun risque à manger un repas préparé par une personne infectée, à serrer la main de celle-ci ou à manipuler des objets qu’elle a touchés. Si la plupart des sondés reconnaissent le rôle essentiel d’une plus grande protection des relations sexuelles et déclarent qu’eux-mêmes se protègent davantage, le nombre de citoyens de l’UE‑15 qui déclarent prendre des précautions est en baisse constante en comparaison de l’enquête Eurobaromètre de 2002.Action de l’UE en matière de prévention du VIH/sidaLe 8 septembre 2004, la Commission a adopté le document de travail intitulé « Une approche coordonnée et intégrée de la lutte contre le VIH/sida dans l'Union européenne et les pays voisins »[1]. Ce texte prévoyait un certain nombre d’actions concrètes à accomplir par la Commission pour la fin de l’année 2005. Il a été suivi, le 15 décembre 2005, d’une communication de la Commission européenne sur « la lutte contre le VIH/sida dans l'Union européenne et les pays voisins, 2006-2009 ». Cette communication définit les domaines d’action prioritaires jusqu’à la fin de l’année 2009 et relève ceux dans lesquels il convient d’intensifier l’action menée au niveau de l’UE afin d’atteindre les objectifs fixés. L’activité essentielle de la Commission consiste à soutenir la lutte menée contre le VIH/sida au niveau national, mais l’Union européenne peut contribuer utilement à relever le défi du VIH/sida dans divers domaines. Parmi eux figure la prévention, qui passe par un travail de sensibilisation et d’éducation ciblé sur les jeunes. L’Eurobaromètre sur le VIH/sida va dans ce sens, car il contribue à une meilleure compréhension des opinions et comportements des citoyens de l’UE vis-à-vis de la prévention du VIH/sida, ainsi qu’au renforcement de leur connaissance de la question. La table rondeDans le but d’explorer les moyens de sensibiliser la population à la prévention du VIH/sida, notamment en ce qui concerne les relations sexuelles protégées, la Commission a organisé, aujourd’hui à Bruxelles, une table ronde réunissant les parties intéressées. Parmi les participants figuraient des associations de jeunesse, des représentants d’organismes de promotion de la santé des États membres de l’UE, des ONG luttant contre le VIH/sida, des agences de publicité, des organismes de radiodiffusion télévisuelle et des fabricants de préservatifs. Pour de plus amples informations, voir: http://europa.eu.int/comm/health/ph_publication/eurobarometers_en.htm[1] http://europa.eu.int/comm/health/ph_threats/com/aids/aids_en.htm.(Fonte: Commissione Europea-servizio stampa)