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Roland Emmerich s'amuse à détruire le monde. Avec '2012', il repousse les limites du cinéma catastrophe en offrant un festival de scènes d'action à couper le souffle agrémenté d'une réflexion sur la survie de notre espèce.Roland Emmerich a toujours aimé les superproductions. Dès 1984, l'un de ses courts métrages, 'Le Principe de l'Arche de Noé', est Nike Enfant cité comme le film d'étudiant le plus cher jamais produit en Allemagne. Après le conte fantastique 'Joey', le cinéaste est parti à la conquête des Etats-Unis au début des années 1990 et s'y est imposé comme un spécialiste du cinéma de genre. Science-fiction ('Moon 44', 'Stargate'), film de "grosse Nike Shox Enfant bébête" ('Godzilla'), fresque historique ('The Patriot') et conte préhistorique ('10.000') lui valent le respect des studios.Ce sont cependant 'Independence Day' et 'Le Jour d'après', deux films catastrophe où la Terre en Nike TN requin enfant prend pour son matricule, qui Nike Air Max Enfant ont caracolé au sommet du box-office. Après les extraterrestres et les problèmes d'environnement, une prophétie maya signe de nouveau l'arrêt de mort de notre planète dans '2012', divertissement extra large.J'aime l'idée de pouvoir mélanger de petites histoires du quotidien avec le gigantisme d'une superproduction. Je trouve cette recette indémodable. Des classiques comme 'La Tour infernale' ou 'Tremblement de terre' m'ont fasciné quand j'étais plus jeune. Mais je crois que le film qui m'a le plus influencé est 'Rencontres du troisième type'. Mieux que personne, Steven Spielberg a su s'appuyer sur une légende urbaine pour en tirer une fiction brillante. C'est un peu ce que j'ai fait avec 'Independence Day' où nous nous sommes très librement inspirés des rumeurs sur la Zone 51 et Roswell ainsi que pour '2012' où nous sommes partis d'une légende maya. Rien ne compte davantage que l'implication du spectateur, et le fait de se baser sur des croyances préexistantes donne un vernis de réalisme à l'ensemble.