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Dans la mouvance Dior Hommes pas cher des nombreux renouvellements de direction des lieux consacrés pour tout ou partie à la danse (2), le cas Chaillot est sans conteste le plus spectaculaire et le plus discuté. Nouvel outil de diffusion pour la danse, aussi imparfait soit-il, force est de reconnaître les promesses qu'il comporte. Le gouvernement s'est finalement décidé à laisser une visibilité plus importante à la danse ; laissons le nouveau visage de Chaillot faire ses preuves. Tout en fortifiant ses positions, la danse, grande habituée des scènes pluridisciplinaires, partage son nouveau temple avec d'autres disciplines exaltant l'expression du corps et s'inscrit à sa manière dans l'histoire Fendi Chaussures pas cher de Chaillot. L'écueil aurait été de renier cet héritage. On s'inquiète que le public ne soit pas réceptif à la nouvelle offre ? Les actions de sensibilisation n'ont pas été négligées, ouvrant la voie à une culture chorégraphique partagée par le plus grand nombre et dessinant par là même un avenir plus faste pour la danse.

Jusqu’au 28 novembre 2007, Photoquai déploie une vague kaléidoscopique d’images du monde à travers Paris. La ville entière se jette à l’eau avec le musée du Quai Branly afin de lancer un regard neuf sur “L’Autre”. Une nouvelle biennale qui prétend “casser les barrières et remettre du flou” dans le rapport Gucci Femmes pas cher de l’Occident au reste du globe.

Paris accueille une nouvelle biennale. Encore une qui promet de projeter un regard neuf sur le village global. Un Gucci Hommes pas cher programme risqué, engageant un pas glissant sur des sentiers battus. Mais si le projet menace de prendre à première vue des allures d’exotisme utopique et d’ethno-pathos occidental, Stéphane Martin, directeur du musée du Quai Branly, assure ”qu’il n’est pas question de créer une vision unanimiste et sympathique de tous les hommes et femmes du monde se tenant par la main. Nous ne sommes pas là pour fabriquer un point de vue global et figé, mais pour questionner le monde contemporain.” Photoquai se veut ”l’instantané du monde se photographiant”, déployant à travers la ville un diaporama d’images provenant du monde entier, en intérieur comme en extérieur, au sein d’une dizaine d’institutions partenaires et le long des quais de Seine. L’occasion rêvée de réaffirmer le rôle que Jacques Chirac octroyait au Quai Branly en 2006 ; celui de ”promouvoir, auprès du public le plus large, un autre regard, plus ouvert et plus respectueux, en dissipant les brumes de l’ignorance, de la condescendance ou de l’arrogance”. Alors, nouveauté ou déjà-vu ? Les paris sont ouverts.