Creato da vascodagamabrasil il 14/05/2009

Vasco Da Gama

C.R. Vasco da Gama - Rio de Janeiro - Brasil

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VASCO DA GAMA ONLINE - EDITION EN FRANĒAIS

Post n°38 pubblicato il 14 Maggio 2009 da vascodagamabrasil
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L'Histoire du CR Vasco da Gama

1987/88 - LE BICHAMPIONNAT

En 1987 le pays pleurait le décès du poète Carlos Drummond de Andrade, cependant, la joie du football était au moins garantie par le duo formé par Roberto Dinamite et Romário. L'équipe vascaína² a effectué un excellent championnat de la coupe Guanabara en arrivant au match décisif contre le Flamengo où l'égalité suffisait. L'équipe a joué en assurant le 0 à 0. Après la deuxième position lors de la coupe Rio, le Vasco a disputé la finale dans un triangulaire contre le Bangu et le Flamengo.

L'équipe de Moça Bonita (l'équipe du Bangu) a souffert d'une écrasante victoire 4 à 0. C'était l'heure de la revanche face au Flamengo. Tel qu'on l'attendait, avec une exhibition éclatante, une passe sensationnelle de Roberto Dinamite, l'une des plus belles actions que le Maracanã n'avait jamais vue, le ballon est arrivé dans les pieds de Tita, ex-joueur du Flamengo, qui a frappé en pleine lucarne dans les filets adversaires pour finir le match. Meilleur revanche, impossible. Vasco Champion Carioca de 1987.

Lors du championnat de l'état en 1988, après le vice-championnat de la coupe Guanabara, le Vasco montrait de nouveau sa force et a conquis la coupe Rio. Lors de ce championnat, le Vasco a enchaîné une série de victoires contre le Flamengo, en arrivant même à 5 victoires consécutives. La première (1 à 0) s'est produite lors de la coupe Rio, but marqué par le milieu de terrain Henrique. Ensuite, au le troisième tour, après avoir vaincu l'Americano et égalisé contre le Fluminense, le Vasco a battu le Flamengo 3 à 1, avec deux buts de Sorato et un but de Vivinho.

Avec ce résultat l'équipe de São Januário jouerait la finale en deux matchs contre les rouge noirs,en pouvent devenir 4 matchs à cause des points nécessaires. Le premier match de la finale, Vasco 2 à 1, buts de Bismarck et de Romario. Le match décisif, comme l'égalité suffisait, le Vasco a joué en défense. Cinq minutes avant la fin du match, l'entraîneur Sebastião Lazaroni a mis Cocada à la place de Vivinho. Après son entrée le latéral droit a fait un dribble face au défenseur Edinho et a frappé de l'entrée de la zone de but en marquant le but du titre, ce qui l'a fait entrer dans l'histoire du club.

1989 - LE BICHAMPIONNAT DE LA LIGUE BRESILIENNE

En 1989, après la vente de joueurs pour l'extérieur, le Vasco a ramassé de l'argent pour remonter une super-équipe. Bebeto a été retiré du Flamengo, grande idée des dirigeants vascaínos², après une bagarre entre le club rival et le joueur. Pour compléter l'équipe sont arrivés Luis Carlos Winck, et Boiadeiro entre autres.

En excursion en France le Vasco a vaincu l'équipe française Metz et l'équipe Etoile Rouge de la Yougoslavie en gagnant le Tournoi de Metz. Ensuite l'équipe cruzmaltina³ a ratrappé le trichampionnat de Ramón de Carranza, en battant l'équipe espagnole Atlético de Madri et l'uruguayan Nacional. C'était l'heure d'un autre brésilien. Même avec un très bon groupe le Vasco a mis longtemps pour entrer dans le championnat.

L'équipe alternait matchs brillants avec matches modestes et le grand joueur Bebeto était victime de blessures successives. Le titre de favori s'éloignait et quand personne ne croyait plus au Vasco, l'équipe a reagi lors des matchs, avec difficulté. Il a vaincu le Corinthians, à São Paulo, et l'Internacional, à Porto alegre. Après ça, l'équipe est arrivée à la finale avec un point d'avantage sur São Paulo, ce qui était suffisant pour avoir une seule victoire afin d'acquérir le championnat.

L'entraîneur Nelsinho a réuni l'équipe et tous étaient d'accord pour jouer le premier match hors de leur stade. En cas de défaite, ils iraient jouer la finale au Maracanã. Lors du match au Morumbi le Vasco a utilisé comme stratégie de laisser attaquer São Paulo et explorer les contre-attaques en haute vitesse. A la cinquième minute de la deuxième mi-temps, après le centre de Winck, Sorato fit une tête dans le coin droit des buts du gardien Gilmar, en marquant le but du titre. Le gardien Acácio, dans une après-midi inspiré, a assuré une défense incroyable. Le Vasco gagnait son titre de bi-champion Brésilien.

1992/93/94 - LE TRICHAMPIONNAT DE L'ETAT

Le Maracanã étant interdit à cause des travaux, après l'accident grave du championnat brésilien de 1991, le stade de São Januário a servi de scène pour les grands matchs de Rio.

Ce fut un titre sans défaites, après avoir vaincu les deux tours disputés, il n'était pas nécessaire d'avoir la finale. L'équipe a garanti la conquête du titre après la victoire 1 à 0, but de Valdir contre le Bangu.

Lors du dernier match de la compétition, l'égalité 1 à 1 face au Flamengo a servi de préparation et fut un moment d'émotion pour les supporters du Vasco, car Roberto faisait ses adieux aux terrains de football du championnat Carioca¹. La plus grande victoire du club dans l'histoire fut 698 buts dans 1.110 matchs en portant le maillot du Vasco. Dinamite est sorti du terrain avec la même simplicité qui lui a fait remporter le succès.

En 1993, après le vice-championnat de la coupe Guanabara le Vasco s'est rattrapé, en gagnant la coupe Rio ce qui donna le droit de disputer la finale. Après la victoire, le Vasco a joué pour assurer l'égalité contre le Fluminense et devenir le bi-champion du Etat.

L'année 1994 a été marquée par le rapide passage de Dener à São Januário. Joueur auquel les vascaínos² mettaient beaucoup d'espoir, mais un espoir de courte carrière. Il est décédé, tragiquement dans un accident automobile à la Lagune Rodrigo de Freitas à Rio. L'excellent joueur n'a fait que douze matchs et trois buts, mais il a enchanté les supporters avec son talent. Cependant, cette année-là n'a été seulement remplie de tristesse, principalement pour l'équipe vascaína², puisque la conquête de la coupe Guanabara après un humillant score 4-1 face au Fluminense a été un bon présage.

Lors du match final contre le Fluminense, Jardel a marqué 2 à 0 et a garanti le titre "Tri, Tri, le Vasco est tri" a chanté l'euphorique foule vascaína², dans tout le Brésil.

1997 - LE TRICHAMPIONNAT BRÉSILIEN

Peu de supporters vascaínos² pourraient s'attendre au spectacle de 1997. Edmundo, après des passages sans importance par Flamengo et Corinthians, était dans l'équipe. Mauro Galvão, qui avait contre lui son âge avancé a été appelé pour commander la défense. Evair, avec l'assurance d'Edmundo, est arrivé pour former le double attaquant. Puis rien de plus, mais Lopes a décidé de mélanger ces joueurs à d'autres formés dans le club ou qui jouaient déjà dans l'équipe.

Edmundo a donc établi un nouveau record de buts dans un même match lors d'un championnat brésilien, marquant six buts face à l'équipe União São João. Lors du même championnat il allait battre avec 29 buts le record de buts du championnat brésilien. Le dimanche 21 décembre 1997, jour de la finale, quatre-vingt dix Mille vascaínos étaient au Maracanã pour voir l'équipe contre le Palmeiras devenir trichampionne brésilienne. Une égalité était suffisante. Après le 0 à 0, le Vasco a levé son troisième titre Brésilien.

1998 - LE TITRE DE L'ETAT LORS DU CENTENAIRE DU CLUB

Année du centenaire, cent ans de gloire. L'équipe a perdu Edmundo pour la Fiorentina, Evair pour la Portuguesa, mais a rajouté Luizão qui était au La Coruña et Donizete, qui jouait aux Corinthians. Les autres grandes équipes, comme le Flamengo, le Fluminense et le Botafogo, en ne respectant le centenaire du Vasco (geste illégitime dans l'histoire du football brésilien) ont dérangé le championnat, en essayant d'effacer l'éclat, mais sans succès, et même avec Wx0 et d'autres ressources non sportives, le Vasco a été champion à l'avance dans un match contre le Bangu à Moça Bonita.

Pour assurer qu'il était toujours un idole, il fallait Mauro Galvão, l'auteur du but du titre dans les minutes supplémentaires d'un match compliqué qui laissait présager 0-0. Contrairement à leur rival, les supporters du Vasco ont crié: Champion!!!

1998 - LE BICHAMPIONNAT SUD-AMÉRICAIN DE LA COUPE LIBERTADORES

Après être passé par les méxicains Chivas et América et aussi par Grêmio et Cruzeiro, l'adversaire du Vasco en demi-finale était le redouté River Pate, qui pendant l'année précédente avait gagné à São Januário lors du championnat de la Supercoupe. A Rio le but de Donizete semblait insuffisant pour supporter la pression en Argentine. À Buenos Aires le Vasco a été ridiculisé par l'entraîneur du River Plate, Rámon Diaz, qui a dit: "Le Vasco n'est pas grande chose".

Avec plus de 50 mille supporters qui ont comblé le Monumental de Nuñez, le River Plate gagnait 1 à 0 jusqu'aux dernières minutes quand Juninho avec un tir magistral a égalisé et garanti la place aux finales de la libertadores. Le premier match contre le Barcelone de Guaiaquil, l'autre finaliste, s'est déroulé au stade São Januário. Aucun billet ne restait parmi les 34 mille mis en vente.

Avec les buts de Donizete et de Luizão, lors de la victoire 2 à 0, le Vasco est parti à la recherche du titre. En Equateur l'équipe a trouvé une mauvaise ambiance, de guerre, avec des bâtons et des pierres lancés des gradins. La pression n'a pas été suffisante pour arrêter le Vasco. Luizão et Donizete, encore, ont marqué 2 à 0, après, le Barcelone a marqué un but, mais le Vasco a été devenu le Champion de la Coupe Libertadores de l'Amérique de 1998 et bichampion sudaméricain de football (1948 et 1998).

2000 - LE TRICHAMPIONNAT SUDAMERICAIN - LA COUPE MERCOSUD

Une conquête dans la mémoire des supporters du Vasco pendant plusieurs années. Personne ne pouvait imaginer que l'équipe, commandée par Romario, au Parque Antartica (Stade de l'équipe du Palmeiras), pourrait changer un score de 0x3 à 4x3, et quitter la ville de São Paulo avec le titre de la Coupe Mercosud. Encore une fois le Vasco a montré pouquoi il est l'équipe de la situation.

Mais ceux qui ont accompagné le début de la compétition sud-américaine ne pouvaient pas prévoir que le Vasco serait champion. Etant donné que l'équipe a effectué un très mauvais début en acquérant le classement pour la deuxième étape grâce à une combination de résultats.

Aux quarts de finale, l'équipe a joué contre le Rosário Central, de l'Argentine. Le premier match, à São Januário, petite victoire 1 à 0, avec un but de Juninho Paulista.

Le deuxième match à Rosário, une simple égalité serait suffisante pour que l'équipe brésilienne continue. Un but de l'adversaire pendant les minutes supplémentaires a mené aux penaltys. Il y avait le jeune gardien Hélton, qui a garanti la place en défendant un penalty. Passée cette difficulté, le Vasco est parti pour la demi-finale pour affronter une autre équipe argentine. Maintenant, l'adversaire était le River Plate. Mais la peur avait disparu au premier match, à Buenos Aires. Une écrasante victoire, 4 à 1, a fait taire tous les argentins.

Le match retour, avec le passage pour la finale, le Vasco a gagné 1 à 0, simplement pour montrer que le massacre en Argentine n'était pas pas arrivé par hasard. La grande finale contre le Palmeiras est enfin arrivée. La troupe de l'arc-en-ciel disait que le Vasco serait vice de nouveau.

Lors du premier match, à São Januário, victoire 2 à 0. Une simple égalité lors du deuxième match serait suffisante pour faire le tour olympique. Cependant la défaite de 1 à 0 à São Paulo a ammené le troisième match décisif. Et là, tout le monde sait ce qui est arrivé...

Vasco champion de la Coupe Mercosud, lors de la victoire de 4 à 3, le plus grand revirement enregistré dans l'histoire du football dans une finale de championnat.

VASCO, TRICHAMPION SUDAMÉRICAIN DE FOOTBALL!

2000 - LE TETRACHAMPIONNAT BRÉSILIEN

Encore une finale de championnat. Encore une opportunité de conquérir un titre, le dernier du millénaire. Encore un cri de Champion. Mas avant tout cela, les supporters devaient souffrir un peu plus, en voyant le Vasco surpasser le humble São Caetano, la surprise de la compétition.

De l'humilité à la surprise, le grand bleu intérieur paulista (Paulista - Celui qui naît à São Paulo) n'avait rien. Autrefois inconnu, Adhemar a guidé le São Caetano, en gagnant contre trois grands clubs du football brésilien. Mais l'avantage décisif du deuxième match en domicile était pour le Vasco. C'était la deuxième finale de l'entraîneur Joel Santana en moins d'un mois.

Le groupe du Vasco avait le quatuor formé par les Juninhos, Euller le vice meilleur buteur du championnat, Romário, avec 18 buts, et l'assurance de Hélton. Ca suffisait.

Lors du premier match, à São Paulo, l'équipe de São Januário a donné des espaces au Grand Bleu et souffre du premier but. L'étoile Romário est entrée en scène, qui a égalisé lors d'une action opportune, ce qui a donné au Vasco l'avantage de jouer l'égalité 0 à 0 lors du match retour.

Le 30 décembre 2000, date du deuxième match décisif, il y a eu un malheureux accident dans les gradins de São Januário. Après de nombreuses discussions le nouveau match a été reporté au 18 janvier, au Maracanã.

Avec le Maracanã bondé de vascaínos² l'équipe est devenue championne, encore une fois, en conquérant le quatrième championnat brésilien après avoir vaincu l'équipe du São Caetano 3 à 1.

DE 2001 à 2007

Le nouveau siècle paraissait apporter plus de conquêtes pour le Vasco. Le titre brésilien de l'année 2000 ne s'est produit qu'au mois de janvier 2001 et le Vasco est devenu champion national. Malgré la force que le club a montrée aux saisons précédentes avec un grand projet olympique, la puissance au football commence a déranger, à ceux qui ne se sont jamais résigné du succès d'une gestion traditionelle.

Quelques rayons se sont unis au projet de rendre infaisable notre institution en la suffoquant financièrement. En 2001 et 2002 le Vasco n'a pas reçu le réglement des droits de transmission de la télévision. De plus, de fausses rumeurs affirmant que le Vasco allait vers la failite ont été menés au marché financier, rendant difficile les négociations avec les grands partenaires.

Ceci étant devenu habituel au long de notre histoire, on a resisté afin de rester vifs. Sans modifier la gestion administrative, le Vasco a renégocié ses dettes, géré les débits fiscaux et célébré un accord concernant les réglements de la TV qui ont permis une protection aux difficultés financières dûes aux projets du club.

Un nouveau souffle s'est traduit lors d'un autre titre du championnat de l'Etat, en 2003. Pour y arriver, le Vasco a levé la coupe Guanabara en battant le Flamengo. Ensuite, lors d'un match décisif contre le Fluminense (qui avait conquis le deuxième tour), il l'a vaincu lors de deux matchs de la grande finale, scores de 2 à 0 et 2 à 1.

Même dans la lutte contre les difficultés administratives, puisque les adversaires ne cessaient pas de lutter contre le club, le Vasco a augmenté son patrimoine et bati un grand projet social pour bénéficier de ses athlètes.

Dans le câdre patrimonial, sont incluses:
- la location du Vasco-Barra, centre d'entraînement de premier niveau situé dans une zone noble de la ville de Rio de Janeiro, à Barra da Tijuca
- la construction du centre d'entraînement Almirant Heleno Nunes, sur la route Rio-Petrópolis, qui recevra les équipes des jeunes (inauguré le 20/08/2006)
- l'agrandissement du complexe sportif de São Januário, avec un quartier entier comme annexe
- la construction d'un hôtel dans le club pour le regroupement des joueurs avant les matchs.

En plus de la gestion d'une équipe multidisciplinaire (médecins, phisiologistes, phisiothérapeutes, nutritionistes, assistants sociaux, psychologues) accompagnant tous les athlètes, le club distribue des centaines de repas par jour et accueille dans des logements propres des jeunes venus d'autres états brésiliens ou villes du Rio. Et, dans le plus noble projet developpé par un club brésilien, le Vasco a célébré un partenariat avec le groupe éducatif Faria Brito, à partir de l'année 2004, envisageant de gérer une école de premier et deuxième degré, permettant aux athlètes de réduire la distance entre les études et les activités sportives.

Pour financer d'autres nouveaux projets, le Vasco s'est lancée en 2007 dans la recherche du marché par le biais de son departement Marketing. L'un des rêves de la direction reélue pour un mandat de plus était de reconduire le club à la principale compétition sud-américaine, la Coupe Libertadores de l'Amérique, première étape dans le but d'arriver à la conquête d'un nouveau titre mondial, qui a été si proche à la fin des années 90.

(1) Carioca(s): 1. Ceux qui sont nés dans la ville de Rio de Janeiro; 2. Concerne la ville de Rio de Janeiro.

(2) Vascaíno(s): supporters de l'équipe du Vasco.

(3) Cruzmaltino(s): 1. Equipe de la Croix-de-Malte, soit le Vasco; 2. Supporters de l'équipe du Vasco.

 
 
 

VASCO DA GAMA - FRANĒAIS

Post n°37 pubblicato il 14 Maggio 2009 da vascodagamabrasil
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L'Histoire du CR Vasco da Gama

INTRODUCTION

La glorieuse histoire du Club de Regatas Vasco da Gama est pleine de faits importants. Notre Club a écrit une des plus belles pages du sport brésilien. Cela a été une lourde tâche de retrouver, parmi tous ces faits, ce qui pourrait devenir le début de l'histoire du Vasco. Nous avons donc choisi, parmi tant événements importants, l'acte pratiqué par M. José Augusto Prestes, Président du Vasco pendant l'année 1924, qui n'a pas permis que notre Club fût atteint par les contraintes telles qu'exclure les athlètes noirs et ainsi que ceux d'origine pauvre. Nous reproduisons, ci-après, la lettre magistrale de notre Président à cette époque-là, un document qui a la marque du pionniérisme, de l'indépendance et, surtout, de la justice sociale, ce qui caractérise le Club de Regatas Vasco da Gama.

Rio de Janeiro, le 7 avril 1924
Dépêche nº 261

Monsieur Arnaldo Guinle
M.D. Président de l'Association Métropolitaine de Sports Athlétiques

Les résolutions divulguées aujourd'hui par la presse, prises à la réunion d'hier par les hauts pouvoirs de l'Association que vous dirigez si dignement, mettent le Club de Regatas Vasco da Gama dans une telle situation d'infériorité, qu'elle ne peut être justifié ni par l'insuffisance de notre terrain, ni par la simplicité de notre siège, ni par la condition simple du nombre important de nos associés. Les privilèges conçus pour les cinq clubs fondeurs de l'AMEA et la forme sous laquelle sera exercé le droit de discussion et de vote, et seront faits les futurs classements, nous oblige à dresser notre protestation contre les résolutions citées. En ce qui concerne la condition d éliminer douze (12) de nos joueurs de nos équipes, la direction du Club de Regatas Vasco da Gama se résout à l'unanimité à ne pas l'accepter, afin de ne pas se conformer aux processus par lesquels l'investigation des positions sociales de tels consortiums a été faite, investigations ménées à un tribunal où n'ont été ni représentés ni défendus.
Nous sommes sûrs que vous serez le premier à reconnaître qu'il serait un acte bien peu digne de notre part de sacrifier le désir de s'affilier à l 'AMEA ceux qui ont lutté pour ce que nous avions, entre autres les victoires du championnat de football de la ville de Rio de Janeiro de 1923.
Ce sont ces douze jeunes joueurs, presque tous brésiliens, au début de leur carrière, et l'acte publique qui peut les maculer ne sera jamais fait avec la solidarité de ceux qui dirigent la maison qui les a accueillis, ni sous l'étendard, qu'avec autant de gentillesse, ils ont couvert de gloire.
En ces termes, nous regrettons de vous annoncer que nous renonçons à faire partie de l'AMEA.
Veuillez agréer, Monsieur, l'expression d'estime et considération de celui honorablement souscrit,
M. At. Vnr. Merci Beaucoup.

Dott. Marcello Moschen

presidente

 
 
 

VASCO DA GAMA ON LINE

Post n°36 pubblicato il 14 Maggio 2009 da vascodagamabrasil
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Storia del CR Vasco da Gama

1958 - IL SUPER-SUPERCAMPIONATO

Il titolo mondiale rese il Carioca del 1958 speciale. Contando su altri ottimi giocatori, il Vasco vendette il campione mondiale Vavá all"Atletico di Madrid. Questa cessione non provocò un calo nel rendimento: i sostituti, come speravano i dirigenti, la commissione tecnica e i tifosi, non delusero. Alla fine dei due gironi, il Vasco, il Flamengo e il Botafogo stavano con lo stesso punteggio. Fu realizzato, così, un supercampionato, con un girone di solo andata, dove le partecipanti erano le tre squadre che giocavano tra di loro. Dopo aver sconfitto il Flamengo per 2 a 0, il Vasco perse contro il Botafogo, provocando, così, di nuovo una situazione di parità tra le tre squadre.

La soluzione fu disputare un super-supercampionato. Una vittoria di 2 a 1 contro i bianco-neri e un pareggio 1 a 1 con i rosso-neri, diede il tanto sofferto e ambito titolo alla squadra del São Januário.

1965 - IL TROFEO PER I QUATTROCENTO ANNI DELLA CITTA' DI RIO DE JANEIRO

All'interno dell'inespressiva, per il Vasco, decade degli anni '60, il 1965 è stato uno dei più significativi per la squadra del São Januário. Per commemorare i quattrocento anni della città di Rio de Janeiro, fu organizzato un grande torneo con il Vasco, il Flamengo e la Nazionale della Germania dell'Est. Il Vasco vinse contro il Flamengo e la Nazionale tedesca, conquistando, in una maniera sensazionale, il titolo di "Campeão do Troféu Quarto Centenário".

1974 - IL PRIMO TITOLO DI CAMPIONE BRASILIANO


Jorginho Carvoeiro segnò il gol della vittoria
La finale tra Vasco da Gama e Cruzeiro venne giocata al Maracanã e non al Mineirão, come avrebbe dovuto essere, perché il campo del Cruzeiro era stato squalificato nella partita precedente. Ciò avvenne a causa dell'invasione di campo dei dirigenti del Cruzeiro, che reclamavano un calcio di rigore per la loro squadra. L'unico risultato che ottennero, fu la squalifica del loro campo, e per questo la finale venne trasferita a Rio. Il Cruzeiro di Piazza e Palhinha cominciò bene, ma il vascaino Ademir non impiegò molto a segnare il gol del vantaggio. Nelinho, calciando da lontano, portò il risultato in parità.

L'agonia durò solamente 36 minuti, Alcir lanciò Jorginho Carvoeiro, che approfittò di uno sbaglio del portiere Victor e segnò il gol della vittoria. In questo modo, rimanendo fedele alla sua fama di pioniere, il Vasco scriveva un'altra pagina della storia, diventando il primo Club di Rio ad essere Campione del Brasile.

 
 
 

VASCO DA GAMA ONLINE - IN ITALIANO

Post n°35 pubblicato il 14 Maggio 2009 da vascodagamabrasil
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Storia del CR Vasco da Gama

1927 - VIENE COSTRUITO IL SÃO JANUÁRIO, IL GIGANTE DELLA COLLINA


São Januário Stadio
Davanti a tanta discriminazione, il Vasco iniziò una campagna storica di raccolta di fondi tra gli associati e i simpatizzanti per la costruzione di uno stadio all'altezza del Club. Di nuovo nella categoria delle squadre principali di Rio, nel 1925, il Vasco fece un ottimo campionato, 13 vittorie, 3 pareggi e 2 sconfitte, finendo al terzo posto. Nel 1926, casacche nere arrivarono al secondo posto, vincendo 14 delle 18 partite disputate.

I vascaini erano più presi dalla costruzione di uno stadio, che dal loro andamento nel Campionato Carioca. Il tempo avrebbe provato che stavano nel giusto, infatti, negli anni successivi all'inaugurazione, il Vasco costruì un vero e proprio impero, meritevole di titoli e di fama internazionale.

In poco tempo, i contributi dei tifosi e simpatizzanti arrivarono a 685 contos e 895 mil réis (685 milioni e 895 mila réis). Il denaro era sufficiente all'acquisto di una enorme area a São Cristovão. Con il terreno comprato, il passo successivo sarebbe stato facile: raccogliere approssimativamente duemila contos di réis (due miliardi di reis) per la costruzione dello stadio. Ancora una volta, la forza del popolo si fece sentire e, in poco meno di un anno, cominciarono i lavori.

Durante la costruzione sorse un ostacolo nel cammino del Vasco. Il presidente della Repubblica, Washington Luís, negò l'autorizzazione per importare cemento belga - già utilizzato nella costruzione del Jockey Club (club dell'ippica) - , nonostante sapesse, che il paese ancora non disponeva di un prodotto adatto per realizzare opere di quella grandezza. I costruttori, quindi, trovarono una soluzione creativa, facendo una mistura di cemento, sabbia e pietra triturata.

Il São Januário non sarebbe stato solo un bello stadio, ma anche una pietra miliare nella storia della costruzione civile del paese. Due mesi dopo aver posto la prima pietra, lo stadio São Januário veniva inaugurato, era il 21 aprile 1927, era presente, tra gli altri, Washington Luís che, poco tempo prima, aveva creato delle difficoltà.

Fu un giorno di festa e venne disputata la partita inaugurale. La squadra di casa ospitò il Santos, grande potenza del calcio paulista di quel periodo, e fu sconfitta per 5 a 3. Il risultato negativo poco importò. Quello che rimase impresso fu la nuova realtà del club.

Fino all'anno 1941, quando fu inaugurato il Pacaembu, a São Paulo, il São Januário rimase per 14 anni il maggiore e migliore stadio del Brasile.


UN GIOCATORE DEL VASCO SEGNA IL PRIMO GOL "OLIMPICO" (GOL DA CALCIO D'ANGOLO) DEL BRASILE

Nel marzo 1928, il Vasco inaugurò i riflettori e una curva costruita dietro una porta, in una partita amichevole contro la squadra uruguaiana del Wanderers. Il Vasco vinse per 1 a 0, con un gol segnato da Santana dalla posizione del calcio d'angolo, che entrò direttamente nella porta uruguaiana. Il gol fatto dal calcio d'angolo è chiamato in Brasile "gol olimpico", perché il primo gol calciato da questa posizione in Brasile, ci fu durante le Olimpiadi in un incontro tra l'Uruguay e l'Argentina.

NASCE IL GRIDO DI GUERRA "CASACA"

Il benemerito vascaino Francisco Rainho racconta che, in questo periodo, il negoziante João de Lucas, un vascaino innamorato della propria squadra, che più tardi avrebbe fondato la "Torcida Organizada do Vasco" (TOV), aveva l'abitudine di festeggiare le vittorie in maniera creativa. Poiché il Vasco aveva tifosi provenienti da tutte le classi sociali, il negoziante aveva tra i suoi amici anche numerosi membri dell'elite carioca, i quali indossavano sempre delle "casacas" ( casacche) impeccabili. Per onorare questi signori, João inventò un ritornello, che sarebbe diventato il grido di guerra del club:

CASACA, CASACA, CASA-CASA-CASACA!
A TURMA É BOA É MESMO DA FUZARCA
VASCO! VASCO! VASCO!

1931 - PRIMA SQUADRA CARIOCA ALL'ESTERO

Nel 1931, il Vasco arrivò ancora più vicino alla vittoria del titolo carioca. Nell'ultima giornata, con un punto di vantaggio sull'América, la squadra cruzmaltina perse 3 a 0 con il Botafogo, mentre l'América vinse per 3 a 1 contro il Bonsucesso, aggiungendo così un'altra coppa tra i suoi trofei.

In questo campionato, i vascaini imposero la maggiore goleada della storia al rivale rosso-nero, con un umiliante risultato di 7 a 0. Ma non fu questo il fatto più significativo dell'anno al São Januário: il Vasco divenne il secondo club brasiliano - il primo fu il Paulistano di São Paulo - e il primo Club carioca, ad essere invitato a disputare una tournée all'estero, più precisamente in Portogallo e Spagna.

Per rinforzare il collettivo, i dirigenti invitarono Nilo, Carvalho Leite e Benedito (del Botafogo) e Fernando (del Fluminense). Il Vasco vinse 8 partite su 12, pareggiò una volta e perse 3 volte. Segnò ben 45 gol e ne subì appena 18.

Le conseguenze del successo arrivarono subito dopo: i giocatori Fausto e Jaguaré furono messi sotto contratto dal Barcelona, una delle squadre che subì il gioco delle casacche nere.

1935 - NASCE IL CLASSICO DELLA PACE

A causa di una lite con il Flamengo, nata nell'ambiente del canottaggio, il Vasco abbandonò la "Liga" e creò, con il Botafogo, la "Federação Metropolitana de Desportos" (FMD) affiliata alla CBD.

Nel 1935 il Vasco arrivò al terzo posto. Nel 1936 le casacche nere vinsero di nuovo. L'unico team, con il quale si contese il titolo, fu il Madureira, nelle ultime tre partite.

La riconciliazione nel calcio carioca avvenne nel 1937, grazie all'iniziativa dei presidenti del Vasco e dell'América, rispettivamente Pedro Pereira Novaes e Pedro Magalhães Corrêa, il giorno 29 luglio fu creata la "Liga de Football do Rio de Janeiro", che riuniva tutti i medi e grandi club cariocas. Per commemorare la vittoria fuori del campo, le due squadre si affrontarono al São Januário, il giorno 31 dello stesso mese, in una partita che realizzò un incasso record nella città. Da allora, la partita tra il Vasco e l'América viene chiamata il "Classico della Pace".

1945 - NASCE LA FASCIA DIAGONALE


L'offensiva giocatori su 1945
Il Vasco si rinforzò con Augusto (del São Cristovão), Eli (del Canto do Rio), Danilo (dell'América), Ademir (dello Sport Recife), e con Lelé, Isaías e Jair (tutti provenienti dal Madureira). Con questi nomi, i cruzmaltini crearono la base di una squadra, che avrebbe lasciato tracce nella storia del Vasco da Gama, del Brasile e del mondo.

Il primo provvedimento di Ondino Vieira fu cambiare le maglie della squadra. Poiché precedentemente era stato nel River Plate, il tecnico si ispirò alla uniforme della squadra argentina e inserì una fascia diagonale bianca nella maglia nera. E, per i giorni più caldi, creò il modello bianco, che assorbe meno calore, con la fascia nera. Era la fine delle casacche nere e l'inizio dell'"Espresso della Vittoria".

 
 
 

VASCO DA GAMA ONLINE - IN ITALIANO

Post n°34 pubblicato il 14 Maggio 2009 da vascodagamabrasil
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Storia del CR Vasco da Gama

1987/88 - BIS NEL CAMPIONATO CARIOCA

Nel 1987 il paese piange per la morte del poeta Carlos Drummond de Andrade, l'allegria viene garantita, per lo meno nel calcio, grazie alla coppia Roberto Dinamite - Romário. La squadra vascaina disputò un' ottima "Taça Guanabara". Arrivò alla finale con il Flamengo e aveva bisogno solo di un pareggio per vincere il titolo. Cosa che avvenne con uno 0 a 0. Dopo essere arrivato secondo nella "Taça Rio", il Vasco disputò la finale in un triangolare con il Bangu e il Flamengo.

La squadra di Moça Bonita (soprannome dello stadio del Bangu) perse per 4 a 0. Era arrivato il momento di chiudere i conti con il Flamengo. Non fu facile vincere come nella partita precedente, ma fu una prestazione spettacolare. Grazie ad un'azione sensazionale di Roberto Dinamite, una delle giocate di maggior bellezza plastica che il Maracanã ha visto, la palla arrivò dritta dritta a Tita, ex giocatore del Flamengo, che tirò con forza contro la porta avversaria, decretando così la morte del Flamengo. Fu la miglior rivincita possibile. Vasco Campione Carioca del 1987.

Nello Statale del 1988, dopo essere arrivato secondo nella "Taça Guanabara", il Vasco tornò a mostrare la sua forza e vinse la "Taça Rio". In questo Statale il Vasco cominciò una serie di vittorie consecutive con il Flamengo, arrivando a fare una cinquina, ben cinque partite vinte di seguito. La prima (1 a 0) fu ancora nella "Taça Rio", gol del centrocampista Henrique. In seguito, nel terzo turno, dopo aver vinto contro l'Americano e aver pareggiato con il Fluminense, il Vasco vince con il Flamengo per 3 a 1, con due gol di Sorato e uno di Vivinho.

Con questo risultato, la squadra del São Januário si sarebbe contesa il titolo con i rosso-neri in due partite, che potevano diventare quattro in caso di due pareggi. Nella finale di andata, il Vasco vinse per 2 a 1, gol di Bismarck e Romário. Nella finale di ritorno, avendo bisogno appena di un pareggio, il Vasco giocò in difesa. Quando mancavano cinque minuti alla fine della partita, il tecnico Sebastião Lazaroni tolse dal campo Vivinho e fece entrare Cocada. Subito dopo essere entrato, il laterale destro dribblò il difensore Edinho e calciò con potenza dalla entrata dell'area, segnando così il gol del titolo ed entrando nella storia del Club.

1989 - VINCITORE DEL CAMPIONATO BRASILIANO PER LA SECONDA VOLTA

Nel 1989, con la vendita di giocatori all'estero, il Vasco raccolse fondi per mettere su una supersquadra. Bebeto fu strappato al Flamengo grazie ad un'abile trattativa dei dirigenti vascaini, dopo un fraintendimento tra il club rivale e il giocatore. Per completare l'elenco arrivarono, tra gli altri,Luís Carlos Winck e Boiadero.

In una trasferta in Francia, il Vasco vinse contro la squadra francese del Metz e contro la squadra iugoslava della Stella Rossa, vincendo il Torneo di Metz. In seguito, il club cruzmaltino arrivò a vincere il suo terzo titolo "Ramon de Carranza" sconfiggendo lo spagnolo Atletico Madrid e l'uruguaiano Nacional. Era giunto il momento di vincere un altro titolo nazionale. Nonostante l'ottimo collettivo, il Vasco impiegò un po' di tempo per ingranare nel campionato.

La squadra alternava partite brillanti con altre appena passabili e il campione Bebeto era vittima di continui infortuni. Il titolo di "favorito del campionato" era in pericolo, ma quando nessuno lo aspettava, il Vasco cominciò a reagire nelle partite più difficili. Vinse contro il Corinthians, a São Paulo, e contro l'Internacional, a Porto Alegre. Con questa rimonta, il Vasco arrivò alla finale con un punto di vantaggio sul São Paulo, gli bastava una vittoria per vincere il titolo.

Il tecnico Nelsinho riunì i giocatori e tutti furono d'accordo nel giocare la finale di andata fuori casa. In caso di sconfitta, avrebbero giocato la partita decisiva per il titolo al Maracanã. Nella partita al Morumbi, la strategia del Vasco fu quella di lasciar attaccare il São Paulo, per sfruttare la velocità dei propri attaccanti nel contropiede. A cinque minuti dalla fine, su cross di Winck, Sorato colpì con forza di testa verso l'angolo destro del portiere Gilmar, segnando il gol del titolo. Il portiere Acácio, in una partita ispiratissima, fece delle parate straordinarie. Il Vasco vinceva per la seconda volta il titolo di "Campeão Brasileiro".

1992/93/94 - TRIS NEL CAMPIONATO STATALE

Con il Maracanã inutilizzabile a causa delle opere di ristrutturazione, dopo il grave incidente nella finale del campionato brasiliano del 1992, lo stadio São Januário fu teatro delle grandi partite di Rio.

Fu un titolo senza sconfitte, con la vittoria di entrambe le fasi del campionato e senza necessità di una finale. La squadra si garantì la conquista del titolo con una vittoria per 1 a 0, gol di Valdir, contro il Bangu.

Nell'ultima partita della competizione, un pareggio con il Flamengo, 1 a 1, fece da scenario ad un momento di grande emozione per i tifosi vascaini, Roberto diede l'addio al calcio. Fu il più grande cannoniere del club vascaino, fece 698 gol in 1.110 partite con la maglia cruzmaltina. Dinamite uscì dai campi di gioco con la stessa semplicità con cui era entrato.

Nel 1993, dopo essere arrivato secondo nella "Taça Guanabara", il Vasco si rifece vincendo la "Taça Rio" e guadagnando il diritto di disputare le finali contro il Fluminense. Entrambe le squadre vinsero una partita, al Vasco fu sufficiente un pareggio alla terza partita per vincere di nuovo il titolo di campione statale.

L'anno 1994 fu segnato dal passaggio lampo di Dener al São Januário. Era un giocatore nel quale i tifosi vascaini avevano riposto molte speranze, ma ebbe una carriera breve. Morì, tragicamente in un incidente automobilistico nella Lagoa Rodrigo Freitas di Rio. Il campione disputò appena 12 partite e segnò 3 gol, ma incantò i tifosi con il suo talento. Ma non fu un anno con soli avvenimenti tristi per la squadra vascaina. Dopo la vittoria della "Taça Guanabara" ,con un umiliante 4 a 1 inflitto al Fluminense, fu l'inizio di un periodo molto fortunato.

Nella partita finale contro il "tricolor das Laranjeiras" (Fluminense), Jardel marcò il gol del 2 a 0, garantendo la vittoria del titolo. "Tri, Tri, o Vasco è Tri! (Tre, Tre, il Vasco ha vinto tre volte!) Cantò euforica la tifoseria vascaina in tutto il Brasile.

1997 - VINCITORE DEL CAMPIONATO BRASILIANO PER LA TERZA VOLTA

Pochi tifosi vascaini potevano immaginare lo spettacolo a cui avrebbero assistito nel 1997. Edmundo, dopo dei passaggi poco brillanti al Flamengo e al Corinthians, era in squadra. Mauro Galvão, che aveva già raggiunto una certa età, fu messo a comandare la difesa. Evair, con il beneplacito di Edmundo, arrivò per formare la coppia di attacco con il campione. Fin qui nulla di speciale, ma Lopes ebbe la brillante idea di mescolare questi giocatori con dei giovani che venivano dal vivaio del club o che già giocavano nel Vasco.

Edmundo stabilì il nuovo record di gol in una partita del campionato brasiliano, segnando 6 gol contro la squadra dell' União São João. In questo stesso campionato, il giocatore, marcando 29 gol, avrebbe stabilito un altro record, quello di maggior numero di gol segnati nel campionato brasiliano.

Domenica della finale, 21 dicembre 1997, novanta mila vascaini si riuniscono nel Maracanã per vedere la propria squadra affrontare il Palmeiras e vincere il suo terzo titolo di campione brasiliano. Un pareggio sarebbe stato sufficiente e il risultato finale fu proprio di 0 a 0. Il Vasco era campione per la terza volta.

1998 - IL TITOLO STATALE NELL'ANNO DEL CENTENARIO

Anno del Centenario, cento anni di gloria. La squadra perse Edmundo, che andò alla Fiorentina, Evair, che andò alla Portuguesa, ma acquisì Luizão, che stava nel La Corunã e Donizete, che giocava nel Corinthians. Le più grandi squadre, come il Flamengo, il Fluminense e il Botafogo, con un altro atto illegittimo nella storia dello sport brasiliano, mancarono di rispetto al Vasco e misero a ferro e fuoco il campionato, tentarono di appannare l'immagine della squadra cruzmaltina, ma non ci riuscirono, nonostante delle vittorie a tavolino e altri ricorsi anti-sportivi, il Vasco fu campione con anticipo, vincendo contro il Bangu a Moça Bonita.

Mauro Galvão, dimostrando il campione che era, segnò il gol della vittoria, nei minuti di recupero di una partita il cui risultato era fermo sullo 0 a 0. Al contrario della tifoseria della sua maggior rivale, nell'anno del Centenario del Club i vascaini ebbero la gioia di urlare: "E' campeão!!!" ( Il Vasco è campione).

1998 - CAMPIONE SUD-AMERICANO PER LA SECONDA VOLTA NELLA LIBERTADORES

Dopo aver giocato contro i messicani del Chivas, contro l'América, contro il Grêmio e contro il Cruzeiro, l' avversario del Vasco nelle seminifinali sarebbe stato il temuto River Plate, che l'anno precedente aveva vinto una Supercopa nel São Januário.

Il gol di Donizete, segnato a Rio, fu ritenuto insufficiente per disputare un ritorno senza pressioni in Argentina. A Buenos Aires il Vasco era sottovalutato dal tecnico del River Plate, Ramón Diaz, che diceva: "Il Vasco non è un granchè".

Con più di 50 mila tifosi, che aveva riempito il Monumental de Nunez, il River stava vincendo per 1 a 0, ma negli ultimi minuti Juninho Pernambucano, con un magistrale calcio di punizione, segnò il gol del pareggio, garantendo il posto nelle finali della Libertadores. Per la partita di andata contro il Barcelona de Guaiaquil, l'altra finalista, fu scelto il São Januário. Tutti i 34 mila biglietti in vendita furono venduti.

Dopo aver vinto per 2 a 0, gol di Donizete e Luizão, il Vasco partì per la conquista del titolo. In Ecuador la squadra trovò un clima teso, di guerra, con bastoni e pietre lanciati dalle tribune. Nonostante ciò, i giocatori non persero la concentrazione. Luizão e Donizete, di nuovo, portarono il risultato sullo 2 a 0, il Barcelona andò in rete, ma il Vasco riuscì a vincere di nuovo il titolo di campione della "Taça Libertadores" nel 1998, dopo averla vinta nel 1948.

2000 - PER LA TERZA VOLTA CAMPIONE SUD-AMERICANO - MERCOSUL

Una conquista che rimarrà custodita nella memoria dei tifosi vascaini per molti, molti anni. Nemmeno il più fiducioso avrebbe immaginato che la squadra, guidata dalla stella Romário, in pieno Parque Antártica (stadio del Palmeiras), avrebbe rimontato un risultato di 3 a 0 facendolo diventare 4 a 3 per il proprio club, e sarebbe uscita da São Paulo con il titolo della "Copa Mercosul". Ancora una volta il Vasco dimostrò di essere la squadra della "virada" (rimonta).

Chi seguì il campionato sud-americano sin dall'inizio, non prevedeva una vittoria del Vasco. Questo perché la squadra iniziò male e riuscì ad accedere alla seconda fase, solo grazie a una combinazione di risultati.

Nei quarti di finale, la squadra affrontò il Rosário Central, club argentino. Nella partita di andata, al São Januário, il Vasco vinse con il magro risultato di 1 a 0, gol di Juninho Paulista.

Nel ritorno a Rosário, un semplice pareggio avrebbe permesso alla squadra brasiliana di andare avanti. Un gol dell'avversario nei minuti di recupero portò le due squadre ai calci di rigore. Il giovane Hélton assicurò la vittoria parando un rigore. Passato questo pericolo, il Vasco giocò la semifinale contro un'altra squadra argentina. Questa volta l'avversario era il River Plate. Il timore per l'avversario durò poco nella partita di andata, a Buenos Aires. Con una goleada fantastica, 4 a 1, il Vasco chiuse la bocca a tutti.

Nel ritorno, con il posto in finale già assicurato, il Vasco vinse 1 a 0, per dimostrare che il massacro in Argentina non era una casualità. La finale fu disputata contro il Palmeiras. I rivali invidiosi sostenevano che il Vasco avrebbe perso.

Nella partita di andata, al São Januário, il Vasco vinse per 2 a 0. Un semplice pareggio nella gara successiva, sarebbe stato sufficiente, per fare il giro del campo con la coppa in mano. Però, la sconfitta per 1 a 0 a São Paulo, portò alla decisione di giocare una terza e decisiva partita. Tutti sappiamo quello che successe…

Il Vasco divenne campione della "Copa Mercosul", con una vittoria di 4 a 3, facendo la più grande rimonta nella storia del calcio in una finale.
IL VASCO PER LA TERZA VOLTA E' CAMPIONE SUD-AMERICANO DI CALCIO!!!

2000 - VINCITORE DEL CAMPIONATO BRASILIANO PER LA QUARTA VOLTA

Ancora un'altra finale di campionato. Un'altra possibilità di vincere il titolo, l'ultimo del millennio. Ancora una volta si grida: "Campione!". I tifosi, però, avrebbero sofferto un po', prima di vedere il loro Vasco vincere contro l'umile São Caetano, squadra data come sfavorita nella competizione.

In realtà l"Azulão" (letteralmente "azzurrone") della regione paulista non era né una squadra umile, né una squadra con caratteristiche inferiori alle altre. L'allora sconosciuto Adhemar aveva guidato il São Caetano e aveva sconfitto tre grandi del calcio brasiliano. Il Vasco ebbe il vantaggio di giocare la partita di ritorno in casa. Questa era la seconda finale del tecnico Joel Santana in meno di un mese.

La nave vascaina vantava il quartetto formato da Juninho Paulista, Juninho Pernambucano, Euller e il vice-cannoniere del campionato, Romário, con 18 gol, oltre a Helton in porta. Ed era sufficiente.

Nella partita di andata, a São Paulo, la squadra del São Januário diede molto spazio all'Azulão e andò in svantaggio. Ma la buona stella di Romário non tardò ad entrare in scena. Il giocatore, grazie al suo opportunismo, pareggiò, dando al Vasco il vantaggio di poter vincere il campionato anche con un pareggio a reti inviolate nella gara di ritorno.

Il 30 dicembre 2000, data della partita di ritorno, ci fu un incidente alla recinzione del São Januário. Dopo molte discussioni, fu stabilito di giocare la partita decisiva il giorno 18 gennaio, al Maracanã.

Con il Maracanã pieno di tifosi vascaini, la squadra vinse il titolo, ancora una volta, sconfiggendo il São Caetano per 3 a 1, il Vasco era per la quarta volta vincitore del campionato brasiliano.

DAL 2001 AL 2007

Il nuovo secolo sembrava portare nuove conquiste per il Vasco. Il titolo del Campionato Brasiliano era stato vinto nel gennaio 2001, ed era il quarto nella storia della squadra. Ma la forza che il Club aveva dimostrato nelle stagioni precedenti con l'avvio di un progetto olimpico, oltre alle vittorie nel calcio, cominciavano a dar fastidio, specialmente a coloro che non volevano accettare il successo di una amministrazione tradizionale.

Alcuni enti si unirono con lo scopo di distruggere la nostra istituzione, soffocandola finanziariamente. Nel 2001 e nel 2002, il Vasco non ebbe le quote spettanti per i diritti televisivi. Inoltre, furono messe in circolo notizie false sulla solvibilità finanziaria del Vasco, che resero difficili le negoziazioni con possibili sponsor.

Poiché tutto ciò già era successo nella nostra storia, resistemmo per mantenere viva la nostra istituzione. Senza cambiare la sua linea dirigenziale, il Vasco rinegoziò i suoi debiti, saldò degli oneri fiscali e stipulò un accordo per i diritti televisivi, che avrebbero contribuito al finanziamento dei progetti del club.

La possibilità di tornare a respirare, portò alla vittoria di un altro titolo statale conquistato nel 2003. Per arrivare al titolo, il Vasco vinse la "Taça Guanabara" nella finale disputata contro il Flamengo. Nelle finali contro il Fluminense (vincitore della "Taça Rio"), il Vasco vinse entrambe le partite. La prima per 2 a 0 e la seconda per 2 a 1.

Nonostante tutti gli ostacoli in tutti i rami dell'organizzazione, che continuamente i nemici ponevano sul suo cammino, il Vasco ampliò il suo patrimonio e avviò un progetto sociale per beneficiare molti dei suoi atleti.

In campo patrimoniale meritano menzione il finanziamento di "Vasco Barra", un centro di allenamento di primo livello situato in una delle zone più eleganti della città di Rio de Janeiro, Barra da Tijuca, la costruzione del Centro di Allenamento "Ammiraglio Heleno Nunes", sull'autostrada Rio-Petrópolis, che ospiterà le divisioni giovanili (inaugurato il 20/08/2006), l'ampliamento del complesso sportivo del São Januário con l'annessione di un altro grande terreno, e l'edificazione di un hotel dentro le proprietà del club, per riunire i giocatori prima di una partita.

Nel ramo sociale, oltre al lavoro di una squadra multidisciplinare (medici, dentisti, fisioterapisti, fisiologi, nutrizionisti, assistenti sociali, psicologi) che segue tutti gli atleti, il club ha deciso di distribuire centinaia di pasti al giorno e dare alloggio ai giovani provenienti da altri stati brasiliani o altre città dello stato di Rio de Janeiro. E per portare a termine il più nobile dei progetti promosso da un club brasiliano, il Vasco ha iniziato una collaborazione con il gruppo di educatori Faria Brito, così, dall'anno 2004, gli atleti possono frequentare le medie e le superiori, dedicandosi così sia allo studio sia allo sport.

Per finanziare nuovi progetti, il Vasco ha iniziato nel 2007 una ricerca di mercato attraverso il suo Dipartimento Marketing. Un dei sogni della dirigenza rieletta sarebbe condurre di nuovo il Club agli alti vertici della competizione sud-americana, la "Taça Libertadores da America", sarebbe il primo gradino verso la scalata al titolo mondiale, a cui la squadra fu molto vicina alla fine degli anni '90.

 
 
 

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