amareilcinemaParole di cinema scritte ( e trascritte ) di notte e tant'altro per chi ha cuore e occhi per vedere.Per chi ama il cinema.Per chi ha ancora un sogno |
AREA PERSONALE
Il sogno
Se il sonno fosse (c'è chi dice) una
tregua, un puro riposo della mente,
perché, se ti si desta bruscamente,
senti che t'han rubato una fortuna?
Perché è triste levarsi presto? L'ora
ci deruba d'un dono inconcepibile,
intimo al punto da esser traducibile
solo in sopore, che la veglia dora
di sogni, forse pallidi riflessi
interrotti dei tesori dell'ombra,
d'un mondo intemporale, senza nome,
che il giorno deforma nei suoi specchi.
Chi sarai questa notte nell'oscuro
sonno, dall'altra parte del tuo muro?
JORGE LUIS BORGES
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Tempo verrà
in cui, con esultanza,
saluterai te stesso arrivato
alla tua porta, nel tuo proprio specchio,
e ognuno sorriderà al benvenuto dell'altro,
e dirà: Siedi qui, Mangia.
Amerai di nuovo lo straniero che era il tuo Io:
Offri vino. Offri pane. Rendi il cuore
a se stesso, allo straniero che ti ha amato
per tutta la vita, che hai ignorato
per un altro e che ti sa a memoria.
Dallo scaffale tira giù le lettere d'amore,
le fotografie, le note disperate,
sbuccia via dallo specchio la tua immagine.
Siediti: E' festa: la tua vita è in tavola.
Di Derek Walcott Citato nel Film "La Febbre"
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Post n°142 pubblicato il 11 Maggio 2011 da nottelunas
"Hors-la-loi" : rebelles académiques | 21.09.10 | Voici donc le film pour lequel le maire de Cannes a organisé une cérémonie expiatoire, lors de sa présentation au Festival (sous l'appellation "Hommage aux victimes françaises de la guerre d'Algérie"), contre lequel les associations de rapatriés ont manifesté avant même sa projection, et devaient encore se rassembler à l'occasion de sa sortie en salles - ainsi, lundi 20 septembre, lors d'une projection en avant-première, à Marseille... On serait tenté de dire, "s'ils avaient su...", mais la connaissance même de Hors-la-loi n'aurait pas changé grand-chose aux préjugés. Certes le film ne trouve quasiment rien à sauver dans l'oeuvre colonisatrice de la France : il commence par l'expulsion d'une famille de paysans algériens au profit d'un propriétaire français ; il finit par la tuerie du 17 octobre 1961, lors de laquelle des dizaines de manifestants mobilisés par le Front de libération nationale (FLN) périrent aux mains de la police parisienne. Pourtant, ce ne sont pas tant les torts faits aux Algériens par la puissance coloniale qui intéressent Rachid Bouchareb, que ceux qu'ont infligés les combattants à leurs compatriotes. Il s'agit d'évaluer le prix payé pour l'indépendance et, aux yeux de Bouchareb, il est terriblement élevé : les purges au sein du FLN, la rivalité sanglante avec le Mouvement national algérien (MNA), l'emploi des sympathisants comme chair à canon (ou plutôt à matraques), rien n'échappe au regard de Bouchareb. On aimerait qu'à cette volonté de lucidité politique corresponde une autre volonté de cinéma qu'un hommage aux films tournés en studio à l'époque des événements. La famille que l'on voit expulsée au début du film compte trois fils. Le cadet grandira pour prendre les traits de Sami Bouajila, qui tient le rôle d'Abdelkader, intellectuel, idéologue, emprisonné à la suite de la répression à Sétif. Mais on voit que quelque chose cloche dans le film quand la caméra s'attarde sur les lunettes que porte Abdelkader enfant. S'il a des lunettes, il sera intellectuel. Chapelet de dilemmes Messaoud (Roschdy Zem), l'aîné, ne quitte pas l'armée française après la fin de la seconde guerre mondiale. Combattant en Indochine, il est fait prisonnier par le Vietminh et expérimente dans sa chair la victoire des colonisés. Après avoir tué un notable inféodé à l'administration coloniale, Saïd (Jamel Debbouze) part pour la France, où il poursuivra une carrière de proxénète et de promoteur de combats de boxe, suscitant le désespoir de sa mère et le mépris de ses frères. Tant que le film approche de son sujet - la guerre d'Algérie telle que l'ont vécue les Algériens vivant en métropole -, ces archétypes restent vivants. L'évocation du massacre de Sétif, les parcours d'Abelkader et de Messaoud adhèrent strictement aux conventions romanesques, mais ils sont portés par un mouvement et une volonté de montrer ce qui est resté longtemps caché qui font oublier la frugalité des situations, les personnages sommaires. C'est sans doute en arrivant dans le bidonville de Nanterre (où s'entassèrent pendant des décennies les immigrés des "trente glorieuses") que Hors-la-loi s'effondre sous le poids du spectacle. Les artifices de cette misère de chef décorateur étouffent les efforts des acteurs, neutralisent les situations les plus dramatiques. Le scénario égrène sans faiblesses son chapelet de dilemmes moraux et politiques, que les deux frères aînés résolvent toujours en faveur de la cause, contre les individus. Il montre bien sûr la brutalité des forces de répression qui se moquent autant de la loi que les insurgés. Ancien résistant, le policier qui représente l'appareil d'Etat dans Hors-la-loi est incarné par le même comédien qui jouait le sous-officier d'Indigènes. Bernard Blancan est un acteur de grand talent, pourtant son travail est ici infiniment moins convaincant qu'il ne l'était dans le film précédent. C'est une mesure comme une autre du semi-échec de Hors-la-loi. di Thomas Sotinel
Film français de Rachid Bouchareb avec Roschdy Zem, Jamel Debbouze, Sami Bouajila. (2 h 18.) |
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Non dire che hai abbandonato il sogno.
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Asakusa Kid, Takeshi Kitano
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